Ernest-Antoine Seillière : « Mais nous n'avions rien à y faire ». http://www.liberation.fr/page.php?Article=133214 (extraits :) « Qu'il s'agisse des intermittents ou de la canicule, cela nous a confortés dans l'idée que l'entreprise ne doit pas s'ingérer là où il n'est ni efficace ni légitime qu'elle soit, explique Seillière. Sauf dans le cadre du mécénat, ce n'est pas aux entreprises de financer la culture et le spectacle vivant. Et pour la canicule, il y a quelques années on aurait pu s'en prendre à nous, puisque nous cogérions les systèmes de santé. Mais nous n'avions rien à y faire et nous nous en sommes retirés. » |